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TITRE IV
DES ABLUTIONS
CHAPITRE V. - Du
fait d'alléger les ablutions.
1.
Ibn-'Abbâs rapporte
que le Prophète dormit au point de ronfler, puis qu'il
fit la prière. --- Peut-être a-t-il dit : "il se coucha
jusqu'à ce qu'il ronflât, puis se leva et pria."
Ibn-'Abbâs a dit :
"Comme je couchais une nuit chez ma tante maternelle
Maïmouna, le Prophète se leva pendant la nuit ; arrivé à
un certain moment de la nuit, l'Envoyé de Dieu se leva,
fit des ablutions légères avec l'eau d'une outre
suspendues là ; --- (selon 'Amr-ben-Abou-Dinâr), cette
ablution était légère et non répétée. --- Cela fait, il
pria. Je fis alors moi-même mes ablutions de la façon
dont il les avait faites et vins me placer à sa gauche
--- à sa droite, à peut-être dit Sofyân.--- Le Prophète
me fit changer de côté et me plaça à sa droite, puis il
pria ce que Dieu voulut qu'il priât. Après cela il se
coucha et dormit au point de ronfler. Plus tard le
muezzin arriva et fit l'appel à la prière. Le Prophète
se rendit avec lui à la prière et l'accomplit sans faire
d'ablutions.
Sofyân ayant dit à 'Amr :
"Certaines personnes assurent que seuls les yeux de
l'Envoyé de Dieu dormaient, mais que son coeur ne
dormait jamais." 'Amr répondit : "J'ai entendu 'Obaïd-ben-'Omaïr
dire que les songes des Prophètes constituaient une
révélation" puis il récita ces mots : "Certes, je vois
en songe que je t'égorgerai" (sourate XXXVII, verset
101).