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TITRE VII
DE LA LUSTRATION
CHAPITRE
III.
- De la lustration pulvérale dans les villes quand on
ne trouve pas d'eau et qu'on craint de laisser passer
l'heure de la prière. -- 'Atâ en a parlé et El-Hasan a
dit que le malade qui, ayant de l'eau dans son voisinage,
ne trouve personne pour la lui apporter, peut faire la
lustration pulvérale. Ibn-'Omar revenant de son pays se
trouvait à El-Djaraf (localité au nord et à trois milles
de Médine. Sa proximité d'une ville la faisait
considérer comme une sorte de faubourg ou de banlieue.)
et, quand l'heure de la prière de l'après-midi arriva,
il était dans un parc à bestiaux. Il y fit sa prière et
entra ensuite à Médine alors que le soleil était haut
sur l'horizon, mais il ne recommença point sa prière.
1.
El-A'radj rapporte
qu'il
entendit 'Omaïr, affranchi de Ibn-'Abbâs dire : "Je
marchais avec 'Abdallah-ben-Yasâr, affranchi de Maïmouna,
femme du Prophète, jusqu'à ce que nous entrâmes chez
Abou-Djohaïm-ben-El-Hârits-ben-Es-Simma-El-Ansâri.
Abou-Djohaïm dit : "Le Prophète s'avançait dans la
direction de Bir-Djamal (ce puits de Médine se trouvait
dans le voisinage de l'endroit appelé aujourd'hui
Bir-El-Djamal.) lorsque un homme le rencontrant le
salua. Le Prophète ne lui rendit pas son salut, mais,
arrivé au mur, il se frotta le visage (cette
purification avant de saluer a été abrogé.) et les mains
(avec la poussière du mur), puis il rendit le salut."