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TITRE IV
DES ABLUTIONS
CHAPITRE
XXXIII. - De l'emploi (pour les
ablutions) de l'eau qui a servi à laver les cheveux d'un
homme. -- 'Atâ ne voyait aucun mal à employer les
cheveux (humains) pour en faire des ficelles ou des
cordes. -- De l'eau dans laquelle les chiens ont bu et
du passage de ces animaux dans la mosquée. -- Ez-Zohir a
dit : "Lorsqu'un chien a lapé dans un vase et qu'on n'a
pas d'autre eau lustrale que celle-là on peut s'en
servir pour les ablutions." Sofyân a dit : "Telle est la
vraie doctrine, car Dieu a dit : ... "et que vous n'ayez
pas trouvé d'eau, faites alors la lustration pulvérale"
(sourate V, verset 9). Cette eau, sur la pureté de
laquelle on a des doutes, peut servir aux ablutions à la
conditions de faire ensuite la lustration pulvérale."
1.
Ibn-Sirîn rapporte qu'il dit à 'Obaïda :
"Nous avons des cheveux du Prophète ; ils nous sont
parvenus par Anas ou par la famille d'Anas. --- Posséder
un seul cheveu de lui, s'écria 'Obaïda, me ferait plus
de plaisir que d'avoir le monde entier et tout ce qu'il
contient."
2.
D'après Anas,
lorsque
l'Envoyé de Dieu se fut fait raser la tête (au
pèlerinage d'adieu), Abou-Talha fut le premier à
ramasser de ses cheveux.