Sahih Al Boukhari
 

 

 
 

TITRE 25

DU PELERINAGE

CHAPITRE LXXVIII. - De la tournée processionnelle précédée des ablutions.

1. Mohammed ben 'Abderrahman ben Naufal El Qorachi ayant interrogé 'Orwa ben Ez Zobaïr, celui-ci lui répondit : "Le Prophète ayant fait le pèlerinage, 'Aïcha m'a raconté que la première chose qu'il fit à son arrivée à la Mecque, ce furent ses ablutions ; ensuite il fit la tournée processionnelle du temple, mais il n'y eut pas visite pieuse."
Abou Bakr, faisant plus tard le pèlerinage, commença tout d'abord par la tournée processionnelle, sans pratiquer ensuite la visite pieuse. 'Omar fit exactement de même. 'Otsmân, à qui j'ai vu faire le pèlerinage, commença également par la tournée processionnelle du temple et il n'y eut pas visite pieuse. Mo'âwia et 'Abdallah ben 'Omar agirent de même.
Pour moi, j'ai fait le pèlerinage avec Abou Ez Zobaïr ben El 'Awwâm qui débuta par la tournée processionnelle du temple sans transformer son pèlerinage en visite pieuse. J'ai vu les Mohâdjir et les Ansar pratiquer de la même façon et ne pas faire de visite pieuse. Le dernier que j'ai vu faire ainsi est Ibn 'Omar, qui n'accomplit pas non plus de visite pieuse. Ibn 'Omar se trouvant parmi eux, ne l'ont-ils donc pas interrogé et (n'ont-ils donc pas su que) personne de ceux qui nous ont précédés n'a jamais commencé autrement en posant le pied (dans la mosquée) que de faire la tournée processionnelle autour du temple. Et ensuite ils ne quittaient point l'ihrâm. J'ai vu ma mère et ma tante maternelle, quand elles arrivaient à la Mecque, ne rien faire avant d'avoir commencé la tournée processionnelle du temple. Ensuite, elles ne quittaient point l'ihrâm. Ma mère m'a raconté qu'elle, sa soeur, Ez Zobaïr, un tel et un tel avaient fait la telbiya de la visite pieuse et que, quand ils eurent touché la pierre noire, ils quittèrent tous l'ihrâm."

 

CHAPITRE LXXIX. - De l'obligation (de la course) de Es Safa et El Merwa. Elle constitue un des rites prescrits par Dieu.

1. D'après Ez Zohri, Orwa a dit : "Comme je disais à 'Aïcha : "Que penses-tu de ces mots du Coran : "Certes, Es Safa et El Merwa sont parmi les rites prescrits par Dieu. Quiconque fait le pèlerinage au temple sacré ou la visite pieuse ne saurait faire mal en processionnant entre ces deux localités..." (sourate II, verset 153).
"Par Dieu, il ne saurait y avoir péché pour personne en ne processionnant pas à Es Safa et El Merwa." - "Ô fils de ma soeur, me répondit-elle, que c'est mal ce que tu dis là ! S'il fallait donner à ce texte l'interprétation que tu donnes, l'idée eut été exprimée ainsi : "Il ne saurait mal faire en ne processionnant pas entre ces deux localités." Mais ce verset a été révélé à l'occasion des Ansârs."
"Avant d'être musulmans, ils faisaient la telbiya au nom de Manâ la perverse, divinité qu'ils adoraient à El Mochallal. Ceux qui faisaient cette telbiya estimaient à péché de processionner à Es Safa et à El Merwa. Quand ils furent convertis à l'islamisme, les Ansâr questionnèrent l'Envoyé de Dieu à ce sujet en lui disant : "Ô Envoyé de Dieu, nous regardions comme un péché de processionner à Es Safa et à El Merwa." C'est alors que fut révélé le verset : "Certes, Es Safa et El Merwa sont parmi les rites prescrits par Dieu..." Alors, ajouta 'Aïcha, l'Envoyé de Dieu prescrivit de processionner entre ces deux localités, et personne (dorénavant) ne peut se dispenser de cette procession."
"Ensuite, dit Ez Zohri, je racontai la chose à Abou Bakr ben 'Abderrahman qui me dit : "C'est là un fait exact que je n'avais pas entendu dire. Mais j'avais entendu des hommes de science dire qu'il y avait, en dehors de ceux qu'a mentionnés 'Aïcha, des gens qui faisaient la telbiya au nom de Manâ et processionnaient entre Es Safa et El Merwa. Quand le Coran indiqua la tournée processionnelle autour du temple, sans parler de Es Safa et de El Merwa, ces gens là dirent : "Ô Envoyé de Dieu, nous processionnions autrefois à Es Safa et à El Merwa ; or, Dieu, dans la révélation, vient de prescrire la tournée processionnelle autour du temple sans parler de Es Safa. Serait-ce un péché pour nous de processionner à Es Safa et El Merwa ?" Ce fut alors que descendit le verset : "Certes, Es Safa et El Merwa sont parmi les rites prescrits par Dieu..."
Abou Bakr a dit : "J'ai entendu révéler ce verset au sujet de deux groupes : l'un, composé de ceux qui, à l'époque du paganisme, considéraient la procession de Es Safa et de El Merwa comme un péché ; l'autre, de ceux qui processionnaient comme musulmans, parce que Dieu avait prescrit la tournée processionnelle du temple sans parler de Es Safa ni de El Merwa. Ils attendirent que cette prescription fût faite postérieurement à celle de la tournée processionnelle du temple."

 

CHAPITRE LXXX. - De ce qui a été dit au sujet de la course entre Es Safa et El Merwa. - "Cette course, dit Ibn 'Omar, se fait de la maison des Benou 'Abbâd à la ruelle des Benou Abou Hosaïn.

1. Ibn 'Omar a dit : "Quand l'Envoyé de Dieu faisait la série des tournées processionnelles pour la première fois, il accélérait son allure durant les trois premières et marchait au pas durant les quatre autres. Il accélérait également sa marche dans le fond du torrent quand il processionnaient entre Es Safa et El Merwa."
Comme 'Obaïd demanda à Nâfi' : "'Abdallah marchait-il au pas quand il arrivait au pilier yamanite ? - Non, répondit Nâfi', à moins que la foule ne fût trop grande auprès du pilier, car il ne voulait pas dépasser le pilier sans le toucher."

2. 'Amr ben dïnâr a dit : "Nous interrogeâmes Ibn 'Omar sur le cas d'un homme ayant fait la tournée processionnelle du temple pour une visite pieuse sans processionner entre Es Safa et El Merwa. Cet homme peut-il avoir commerce avec sa femme ?" Ibn 'Omar répondit : "Le Prophète arriva à la Mecque ; il fit la tournée processionnelle du temple sept fois ; il pria deux rika' derrière la station d'Abraham et fit sept fois la course entre Es Safa et El Merwa."
"Or, "il y a pour vous dans l'Envoyé de Dieu un excellent modèle à suivre (sourate XXXIII, verset 21)."
Comme nous interrogions à ce sujet Djâbir ben 'Abdallah, il nous répondit : "Que l'on ne s'approche jamais de sa femme avant d'avoir processionné entre Es Safa et El Merwa."

3. 'Amr ben Dînâr rapporte qu'il a entendu Ibn 'Omar dire : "Le Prophète arriva à la Mecque ; il fit la tournée processionnelle du temple ; il pria deux rika' ; il fit la course entre Es Safa et El Merwa et récita ces mots du Coran : "Il y a pour vous dans l'Envoyé de Dieu un excellent modèle à suivre (sourate XXXIII, verset 21)."

4. 'Âsim rapporte qu'il adressa à Anas ben Mâlik la question suivante : "Aviez-vous de la répugnance à faire la course entre Es Safa et El Merwa ? - Oui, répondit-il, parce que c'était une coutume du temps du paganisme, et cela dura jusqu'au moment où Dieu révéla ces mots : "Certes, Es Safa et El Merwa sont parmi les rites prescrits par Dieu. Quiconque fait le pèlerinage au temple sacré ou la visite pieuse ne saurait faire mal en processionnant entre ces deux localités (sourate II, verset 153)."

5. Ibn 'Abbâs a dit : "L'Envoyé de Dieu ne fit la tournée processionnelle du temple et la course entre Es Safa et El Merwa que pour montrer sa vigueur aux polythéistes."

 

CHAPITRE LXXXI. - La femme qui a ses menstrues peut accomplir tous les rites, sauf la tournée processionnelle autour du temple. - De celui qui, sans avoir fait ses ablutions, processionne entre Es Safa et El Merwa.

1. 'Aïcha a dit : "J'arrivai à la Mecque au moment où j'avais mes menstrues et ne fis pas les tournées processionnelles autour du temple, non plus que la course entre Es Safa et El Merwa.
Comme je m'en plaignis à l'Envoyé de Dieu, il me répondit : "Fais tout ce que feront les pèlerins, sauf les tournées processionnelles du temple que tu ne feras qu'autant que tu seras purifiée."

2. Djâbir ben 'Abdallah a dit : "Le Prophète fit, ainsi que ses compagnons, la telbiya du pèlerinage. Personne n'avait amené de victime, sauf le Prophète et Talha. 'Ali, qui arrivait du Yémen, avait également une victime avec lui. Je fis la telbiya comme la fit le Prophète, qui ordonna à ses compagnons de la faire pour la visite pieuse, d'accomplir les tournées processionnelles, puis de se tailler les cheveux et de quitter l'ihrâm. Exception fut faite pour ceux qui avaient amené une victime.
"Les compagnons du Prophète dirent : "Allons-nous donc nous rendre à Mina, alors que l'un de nous a peut-être sa verge qui dégoutte encore de sperme ?" Quand le Prophète apprit cela, il s'écria : "Si je pouvais intervertir l'ordre des choses, je n'aurais pas amené de victime, et, si je n'avais pas de victime, je quitterais l'ihrâm."
"'Aïcha eut ses menstrues. Néanmoins, elle accomplit tous les rites du pèlerinage, sauf toutefois qu'elle ne fit pas la tournée processionnelle autour du temple.
Lorsqu'elle fut purifiée de ses menstrues, elle fit la tournée processionnelle, puis elle dit : "Ô Envoyé de Dieu, vous partez, vous autres, avec un pèlerinage et une visite pieuse, tandis que moi je m'en vais après un simple pèlerinage." Aussitôt le Prophète donna l'ordre à 'Abderrahman ben Abou Bakr d'aller avec elle jusqu'à Et Ten'îm et, là, elle commença la visite pieuse après avoir fait le pèlerinage."

3. Hafsa a dit : "Nous empêchions les femmes bien élevées de sortir. Une femme vint un jour et descendit au Qasr des Benou Khalaf. Elle raconta que sa soeur était mariée à un des compagnons du Prophète qui avait fait douze expéditions avec l'Envoyé de Dieu, et elle ajouta : "Ma soeur a accompagné son mari dans six de ses expéditions. Nous soignions les blessés ; nous veillions sur les malades.
"Ma soeur interrogea l'Envoyé de Dieu en ces termes : "Y aurait-il inconvénient à ce que l'une de nous, si elle n'avait pas de voile, n'allât point à la mosquée ? - Qu'elle emprunte un voile à sa voisine, répondit le Prophète, et qu'elle assiste à la bonne oeuvre et à l'invocation des musulmans."
"Quand, ajoute Hafsa, Omm-'Atiyya arriva (à Bassora), les femmes la questionnèrent - ou, suivant une variante, nous la questionnâmes - à ce sujet. Or, Omm-'Atiyya, qui ne mentionnait jamais l'Envoyé de Dieu sans dire : "Je donnerais la vie de mon père !", interrogée par nous si elle avait entendu l'Envoyé de Dieu dire telle ou telle chose, répondit : "Oui, je donnerais la vie de mon père ! il a dit : "Que les femmes bien élevées et les jeunes filles de bonne condition - ou les jeunes filles de bonne condition et les femmes bien élevées - ainsi que celles qui ont leurs menstrues, assistent à la bonne oeuvre et à l'invocation des musulmans. Les femmes ayant leurs menstrues se tiendront à part dans l'oratoire." - Les femmes ayant leurs menstrues ? m'écriai-je. - Eh ! bien, reprit-elle, est-ce qu'elles n'assistent pas, à 'Arafa, à telle cérémonie, à telle cérémonie ?"

 

CHAPITRE LXXXII. - De la telbiya faite à El Bathâ et de celle faite ailleurs par le Mecquois et le pèlerin qui se rend à Mina (Par "le pèlerin qui se rend à Mina", il faut entendre celui qui, habitant le territoire de la Mecque, accomplit successivement le pèlerinage et la visite pieuse.). - Interrogé sur la question de savoir quand l'habitant voisin de la Mecque doit faire la telbiya du pèlerinage, 'Atâ répondit : "Ibn 'Omar faisait la telbiya le jour de l'abreuvement après la prière de midi et quand il était installé sur sa monture." - Djâbir a dit : "Nous arrivâmes avec le Prophète et nous quittâmes l'ihrâm jusqu'au jour de l'abreuvement. Alors, tournant le dos à la Mecque, nous fîmes la telbiya du pèlerinage." - D'après Djâbir : "Nous fîmes la telbiya à partir de El Bathâ." - 'Obaïd ben Djoraïdj dit à Ibn 'Omar : "Quand tu es à la Mecque et que les gens font la telbiya à l'apparition du croissant de la lune, je vois que toi tu attends pour faire la telbiya le jour de l'abreuvement. - Je n'ai pas vu, répondit-il, le Prophète faire la telbiya avant que sa monture ne fût en marche."

 

CHAPITRE LXXXIII. - Où fait-on la prière de midi le jour de l'abreuvement. - 'Abdelaziz ben Rofaï' a dit : "J'interrogeai Anas ben Mâlik en lui demandant de me renseigner sur ce qu'il savait de l'endroit où l'Envoyé de Dieu faisait les prières de midi et de l'après-midi le jour de l'abreuvement. Anas me répondit : "A Mina. - Et où, lui demandai-je encore, faisait-il la prière de l'après-midi le jour de la dislocation ? - A El Abtah, me répondit-il." Puis il ajouta : "Fais comme font tes émirs."

1. 'Abdelazîz a dit : "J'allai à Mina le jour de l'abreuvement. Je rencontrai Anas, qui s'en allait monté sur un âne. "Où ce jour-ci, lui dis-je, le Prophète faisait-il la prière de midi ? - Regarde où prient tes émirs, me répondit-il, et fais là ta prière."

 

CHAPITRE LXXXIV. - De la prière à Mina.

1. 'Abdallah ben 'Omar a dit : "L'Envoyé de Dieu pria à Mina deux rika'. Ainsi firent Abou Bakr, 'Omar et 'Otsmân, ce dernier au début de son Khalifa."

2. Hâritsa ben Wahb El Khozâ'i a dit : "L'Envoyé de Dieu dirigea la prière à Mina et fit deux rika'. Jamais nous n'avions été aussi nombreux ni aussi fervents que ce jour-là."

3. 'Abdallah a dit : "Je fis la prière avec le Prophète ; elle fut de deux rika' ; je la fis également de deux rika' avec Abou Bakr, de deux rika' avec 'Omar et deux rika' avec Otsmân. Plus tard, vous avez modifié la tradition. Plût au Ciel que, pour ma part, au lieu de quatre rika', je n'en fisse que deux agréées de Dieu."

 

CHAPITRE LXXXV. - Du jeûne le jour de 'Arafa.

1. Omm El Fadl a dit : "Les gens ont émis des doutes au sujet du jeûne du Prophète le jour de 'Arafa. Or, j'ai envoyé ce jour-là à boire au Prophète et il a bu."

 

CHAPITRE LXXXVI. - De la telbiya et du tekbir quand on se rend de Mina à 'Arafa.

1. Mohammed ben Abou Bakr Ets Tsaqafi rapporte qu'il posa à Anas ben Mâlik, alors qu'ils allaient tous deux de Mina à 'Arafa, la question suivante : "Comment faisiez-vous en ce jour avec l'Envoyé de Dieu ? - Celui de nous, répondit-il, qui voulait faire la telbiya la faisait sans qu'on y trouvât à redire ; celui de nous qui voulait faire le tekbir le faisait sans qu'on lui adressât de reproches."

 

CHAPITRE LXXXVII. - Du retour pendant la grande chaleur le jour de 'Arafa.

1. Sâlim a dit : "'Abdelmalik écrivit à El Haddjâdj de suivre strictement les instructions de Ibn 'Omar au sujet du pèlerinage. Ibn 'Omar vint (à la Mecque) et j'étais avec lui le jour de 'Arafa lorsque le soleil commença à décliner. Alors Ibn 'Omar se mit à crier près du pavillon de El Haddjâdj. Celui-ci sortit aussitôt : il était vêtu d'un grand voile teint en rouge. "Qu'as-tu, ô Abou 'Abderrahman ? s'écri-t-il. - Il faut partir, répliqua celui-ci, si tu veux suivre la règle prophétique. - A cette heure ? reprit El Haddjâdj. - Oui, reprit-il. - Eh bien, s'écria-t-il, attends que je me passe de l'eau sur la tête et je pars." Ibn 'Omar descendit de sa monture en attendant que El Haddjâdj sortit, puis il se mit en marche entre mon père et moi. Comme je disais à El Haddjâdj : "Si tu veux suivre la règle prophétique, abrège le prône et hâte-toi de finir la prière", il regarda du côté d'Ibn 'Omar, ce que voyant, celui-ci dit : "Il a raison".

 

CHAPITRE LXXXVIII. - Du fait de se tenir droit sur sa monture à 'Arafa.

1. Omm El Fadl bent El Harits rapporte que certaines personnes discutaient auprès d'elle le jour de 'Arafa au sujet du jeûne du Prophète ; les uns disant que le Prophète jeûnait, d'autres assurant qu'il ne jeûnait pas. "Eh ! bien, dit-elle, je lui ai envoyé un bol de lait et il l'a bu debout sur son chameau."

 

CHAPITRE LXXXIX. - De la réunion de deux prières à 'Arafa. - Ibn 'Omar, quand l'heure de la prière avec l'imam était passée, réunissait deux prières ensemble. - Sâlim rapporte que El Haddjadj ben Youssef, l'année où il vint assiéger Ibn Ez Zobaïr, demanda à 'Abdallah comment il faisait pendant la station à 'Arafa. Sâlim lui répondit : "Si tu veux suivre la règle prophétique, fais par la grande chaleur la prière le jour de 'Arafa." "Il a raison, dit alors 'Abdallah ben 'Omar, car la règle était de réunir ensemble les prières de midi et de l'après-midi." - "Comme, dit Ibn Chihâb, je demandais à Sâlim si le Prophète agissait ainsi, il me répondit : "Est-ce que, en pareille matière, on suit autre chose que la pratique du Prophète ?"

 

Page 1...2...3...4...5...6...7...8...9...10...11
 

 

Titre 1 :
De la révélation à son début.
Titre 2 :
De la foi     
Titre 3 :
De la science.
Titre 4 :
Des ablutions
Titre 5 :
De la lotion.
Titre 6 :
Des menstrues.
Titre 7 :
De la lustration
Titre 8 :
De la prière.
Titre 9 :
Des heures fixées pour la prière.
Titre 10 :
De l'appel à la prière.   
Titre 11 :
Du vendredi.
Titre 12 :
De la prière en cas de danger.
Titre 13 :
Des deux fêtes.
Titre 14 :
De la rika' impaire.
Titre 15 :
Des rogations.
Titre 16 :
Des éclipses.
Titre 17 :
De la prosternation (pendant
 la récitation du Coran.)
Titre 18 :
De l'abrègement de la prière.
Titre 19 :
De la prière nocturne.
Titre 20 :
De la supériorité de la prière (faite) dans la mosquée de la Mecque et dans celle de Médine.
Titre 21 :
Des catégories d'actes permis pendant la prière.
Titre 22 :
Des distractions dans la prière.
Titre 23 :
Des funérailles.
Titre 24 :
De la dîme.
Titre 25 :
Du pèlerinage.
Titre 26 :
De la visite pieuse.
Titre 27 :
Du pèlerin empêché.
Titre 28 :
De l'expiation du délit de chasse et
d'autres choses analogues.
Titre 29 :
Des mérites de Médine.
Titre 30 :
Du jeûne.
Titre 31 :
De la prière (en commun) pendant
les nuits de Ramadan.
Titre 32 :
De l'excellence de la nuit du destin.
Titre 33 :
 De la retraite spirituelle.
 



 

 

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